A l’exception de sa famille et des voyages qu’il faisait avec son frère Léon, il sera malheureusement isolé socialement, jusqu’à la cinquantaine lorsqu’il s’installe dans la maison qu’on lui a construite, et monte son manège tout autour.
Il peut alors recevoir des voisins pour ‘un apéro’, écouter de la musique et voir ses convives danser…, mais surtout, la foule qui se presse à son manège chaque dimanche le replace dans la vie, dans le monde, il sourit de voir les gens heureux.
Fervent catholique, il ira par deux fois en pèlerinage à Lourdes. Chaque dimanche, il va à la messe à Fay aux Loges, avant de se rendre chez ses parents pour y déjeuner. Il s'arrête en chemin au café de la gare pour y boire un petit Ricard